- Des conditions de travail de plus en plus difficiles, avec des départs non remplacés, réduisant de fait les effectifs d’agences mais gardant une même charge de travail.
- La baisse de leur pouvoir d’achat, avec une revalorisation des salaires inférieure à l’inflation, ce malgré un bénéfice net du groupe de 180 millions d’euros en 2018.
- Le non-respect des accords d’entreprise, notamment sur l’aménagement du temps de travail.
- Des dysfonctionnements au niveau de la Mutuelle d’entreprise, des remboursements de frais avancés, des primes de dépannage non versées, des modifications abusives d’affectations.
Les salariés revendiquent :
- Une augmentation des salaires de 5% pour tous
- Le rétablissement de la prime d’assiduité
- Une prime de 200€ nets pour le pouvoir d’achat
- Un minimum de 5h de vacation journalière
- Aucune avance de frais pour le salarié
- Le respect des accords d’entreprise
- Le paiement des heures supplémentaires au mois.
