L’UD CGT-FO de Loire Atlantique a condamné la violence engendrée par le pourrissement du conflit en Guadeloupe et salue la mémoire du militant décédé dans ces tragiques circonstances.
L’UD CGT-FO de Loire Atlantique rappelle que, gouvernement et patronat doivent assumer leurs responsabilités en trouvant rapidement une issue au conflit,
L’Union départementale CGT-FO de Loire Atlantique considère comme légitime la revendication des 200 €uros et la reprend à son compte :
Ce qui est bon pour les salariés d’Outre-Mer,
l’est aussi pour les salariés de Métropole
l’est aussi pour les salariés de Métropole
Prenant la parole au nom du collectif "Solidarité Guadeloupe" à la manifestation nantaise du samedi 21 février qui a rassemblé 2000 personnes, Victor Blandy a notamment dénoncé : "toute tentative de l'Etat de briser par la force les grèves générales en cours ou à venir dans les départements d'Outre-mer (...) Nous appelons tous les citoyens, toutes les organisations associatives, syndicales et politiques, se réclamant du mouvement ouvrier et de la démocratie, à exiger le retrait des forces de répression, l'arrêt des poursuites, la satisfaction des revendications.
Nous sommes totalement solidaires, et nous disons :
Nous sommes totalement solidaires, et nous disons :
Halte à la répression !
Satisfaction des revendications !
Dignité, Liberté, Fraternité pour tous les citoyens d'Outre-mer -Tchimbé rèd pa molli
Satisfaction des revendications !
Dignité, Liberté, Fraternité pour tous les citoyens d'Outre-mer -Tchimbé rèd pa molli
La Commission Exécutive Confédérale de Force Ouvrière condamne toute la violence engendrée par le pourrissement du conflit en Guadeloupe. Elle salue la mémoire du militant décédé dans ces tragiques circonstances. La Commission Exécutive Confédérale de Force Ouvrière rappelle que gouvernement et patronat doivent assumer leurs responsabilités en trouvant, très rapidement, une issue au conflit afin que les salariés de la Guadeloupe et de la Martinique puissent bénéficier d’une augmentation de leur pouvoir d’achat, d’une réduction du chômage, de meilleures conditions de travail et d’un accès à des soins de qualité, c’est-à-dire qu’il soit effectivement répondu à toutes leurs revendications. Pour Force Ouvrière, les aspects sociaux du dossier auraient dû être bouclés depuis le 8 février. La Commission Exécutive Confédérale de Force Ouvrière apporte son soutien aux unions départementales FO et à l’ensemble des salariés qui sont en lutte dans les Antilles. |