Pour la direction, l'argument avancé est qu'il est difficile à rassembler les vendeurs... aux heures de travail. (sic)
La direction de la FNAC explique que les salariés sont plus facilement mobilisables lors de ces réunions informelles et qu'il lui est ainsi plus facile d'informer les équipes de ventes des quelques "chiffres utiles" ou de "quelques nouvelles consignes à observer".
Face à la demande de l'employeur, certains salariés induisent des comportements de culpabilisation ou d'auto justification. Ce en quoi, nous le disons clairement, nous ne pouvons de cautionner de tels usages qui sont potentiellement facteurs d'injustices entre ceux qui acceptent et ceux qui refusent de participer.
...Et ce n'est sans compter "le bilan d'évaluation" qui saura rappeler (sans l'écrire, tel un "Stabilo virtuel") le manquement évident d'implication du salarié au brief quotidien...
A l'argument surréaliste de justifier ces "briefs", par la nécessité d'être opérationnel sur le rayon dès la première minute de la prise de poste, nous répondons qu'il suffit de planifier l'emploi du temps du vendeur 15 minutes plus tôt, ou d'organiser de véritables points d'informations dans la journée, avec l'anticipation et la souplesse nécessaire.
Contact Syndicat du Commerce Nantes & Région : R. AIGOIN - Tél.:02.28.44.19.00
