Et ce n'est hélas pas fini. Les demandes de chômage partiel explosent auprès de la Direction du Travail.
Dans ce contexte d'avalanche de plans sociaux, le bureau confédéral de Force Ouvrière a examiné le projet de convention d'assurance-chômage et a décidé, à l'unanimité, que FO ne serait pas signataire. (A ce jour seule la CFDT a signé).
En effet des dizaines de milliers de chômeurs risquent de voir réduite leur durée d'indemnisation.
Le communiqué confédéral précise :
En effet des dizaines de milliers de chômeurs risquent de voir réduite leur durée d'indemnisation.
Le communiqué confédéral précise :
"Force Ouvrière constate, par ailleurs, que les jeunes de moins de 25 ans ne bénéficieront pas d’une prime forfaitaire comme cela devait être le cas, qu’il n’y a pas de revalorisation du montant des allocations, qu’il n’y a pas pour les salariés multi employeurs de prise en compte de toutes les périodes d’affiliation et qu’il n’y a pas de système de cotisation tenant compte du taux de précarité.
Enfin, Force Ouvrière considère que dans le contexte de crise économique et sociale aiguë qui se traduit par une augmentation du chômage et de la durée de chômage, il est inacceptable de prévoir de manière quasi automatique une baisse des cotisations, ce qui est tout simplement hors du temps.
Cela est d’autant plus choquant que le patronat a obtenu un report de l’augmentation de la cotisation retraite, ce qui fait perdre à la caisse nationale d’assurance vieillesse 1,8 milliard d’euros par an."
Enfin, Force Ouvrière considère que dans le contexte de crise économique et sociale aiguë qui se traduit par une augmentation du chômage et de la durée de chômage, il est inacceptable de prévoir de manière quasi automatique une baisse des cotisations, ce qui est tout simplement hors du temps.
Cela est d’autant plus choquant que le patronat a obtenu un report de l’augmentation de la cotisation retraite, ce qui fait perdre à la caisse nationale d’assurance vieillesse 1,8 milliard d’euros par an."